InkScape : L’éditeur vectoriel gratuit

Inkscape est sans conteste l’un des meilleurs logiciels de graphisme vectoriel gratuit apportant des fonctionnalités semblables à ce que proposent ses concurrents commerciaux comme Illustrator ou Corel Draw.

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Créez et manipulez vos fichiers SVG pour réaliser illustrations, diagrammes, logos et autres images complexes le plus simplement du monde grâce à une ergonomie pensée pour vous permettre de pouvoir tout réaliser très facilement.

« Inkscape est multiplateforme et donc disponible pour Windows, Mac OS, Linux et FreeBSD, en plus de 90 langues, pour les architectures 32 et 64 bits, avec une version portable très légère si besoin et le support technique de toute une communauté très active, et tout cela gratuitement, qui dit mieux ? »

Le format de fichier premier d’Inkscape est le format SVG (pour Scalable Vector Graphics) bien que de nombreux autres formats de fichier peuvent être importés et exportés par Inkscape.

Pour en expliquer son fonctionnement, il faut comprendre que le SVG est basé en fait sur un ensemble de graphiques vectoriels en 2D qui peuvent interagir et être animés.

Toutes ces données sont définies dans un fichier XML (c’est du texte !) ce qui permet alors de pouvoir chercher, indexer, chiffrer et compresser ces données. D’ailleurs, en tant que fichier XML, les images SVG peuvent être créées et éditées via n’importe quel éditeur de texte.

Tous les navigateurs web modernes supportent le rendu SVG, tel que Google Chrome, Mozilla Firefox, Internet Explorer, Opera, Safari et Microsoft Edge.

Si le rendu des fichiers SVG est parfait à l’écran, il convient aussi idéalement pour l’impression mais également pour l’animation, ce qui en fait un format de fichier très complet et pouvant également être très complexe pour des résultats professionnels incroyables dans les domaines de la découpe laser par exemple.

découpe laser avec inkscape

Une découpe laser réalisée à l’aide d’Inkscape.
 
Le format SVG est devenu tout naturellement un standard « ouvert » développé depuis 1999 par le W3C (World Wide Web Consortium) et s’impose comme le format incontournable du domaine de l’image vectorielle.

Comprendre ce qu’est une image vectorielle

Contrairement aux images JPEG, GIF et BMP, les graphiques vectoriels ne sont pas fabriqués à partir d’une grille de pixels. Les graphiques vectoriels quant à eux sont fait de « chemins » qui sont définis par un point de départ et un point de fin et sur lequel l’on trouve tout du long d’autres points, courbes et angles.

Un chemin peut ainsi être une ligne, un carré, un triangle ou une figure courbée. Ces chemins peuvent être utilisés pour créer des dessins très simples ou des diagrammes bien plus complexes. Les chemins peuvent également être utilisés pour définir les caractères de certaines polices d’écriture.

Parce qu’une image vectorielle n’est pas conçue à partir d’un nombre spécifique de points, elle peut être agrandie sans aucune perte de qualité à l’image.

Si vous agrandissez de manière conséquente une image au format JPEG ou BMP (les images « raster »), vous vous retrouverez vite avec un effet de « pixellisation » quant à une image vectorielle les bords de tous les objets contenus dans l’image resteront « lisses » et propres, sans pixellisation.

comparaison d'une image vectorielleet roaster

On comprend alors aisément pourquoi les graphiques vectoriels sont parfaits par exemple pour la création de logos qui doivent être petits pour des cartes de visites mais également suffisamment précis pour créer des immenses banderoles publicitaires.

Si l’avantage « visuel » est effectivement bluffant, les graphiques vectoriels sont également présents dans énormément d’animations Flash puisque ce format permet là aussi de pouvoir agrandir sans perte de qualité le rendu final tout en prenant bien moins de place par rapport à l’utilisation d’enchaînements d’images bitmap.

A noter qu’il existe d’autres formats de graphiques vectoriels, comme les formats EPS, AI et DRW.

De la vectorisation pour une qualité d’image parfaite

La vectorisation consiste en la conversion d’images 2D en une représentation vectorielle en 2D de l’image. Expliqué comme cela, ce n’est pas évident à comprendre mais ce qu’il faut en retenir c’est qu’hélas la vectorisation n’est pas aussi simple que de tenter de reconnaître et d’extraire un modèle tridimensionnel (3D) d’une image 2D.

Pour grand nombre d’applications, la vectorisation n’inclue pas la reconnaissance optique des caractères (OCR pour Optical Character Recognition) ce qui signifie que les caractères sont traités exactement comme des lignes, courbes ou objets remplis sans leur y attribuer d’autres valeurs.

C’est pourquoi la vectorisation permet la préservation du rendu de vos caractères pour ne perdre aucune qualité visuelle s’il y a besoin de « zoomer », ce qui est parfaitement flagrant sur l’exemple ci-dessus.

gestion de la transparence avec inkscape

La qualité visuelle des images vectorielles est indiscutable et permet de gérer la transparence.
 
Le fichier originel pour une vectorisation peut être une image, mais une image peut être elle-même beaucoup de choses, comme un dessin sur papier, une photo ou l’un des nombreux fichiers d’images de type « raster ».

Inkscape permet de faire de la conversion « raster-to-vector » en acceptant les formats de fichiers comme TIFF, BMP ou PNG. La vectorisation permet également dans certain cas de tenter la récupération de données perdues dans des images vectorielles.

modification d'un logo avec inkscape

L’édition simple et gratuite d’images vectorielles avec Inkscape

Inkscape permet donc d’apporter un rendu de ces formes primitives vectorielles (que sont les rectangles, ellipses, polygones, arcs, spirales, étoiles et boites 3D dont nous parlions) et de textes.

Ces objets peuvent ensuite être par exemple remplis avec des couleurs unies ou des dégradés, tout comme leurs contours peuvent être « lissés » tout en ajustant la transparence.

Inkscape est également capable de créer des graphiques vectoriels à partir de photographies ou d’autres sources de ce genre. Les formes primitives créées par vectorisation pourront par la suite être déplacées, subir des rotations ou encore être redimensionnées.


Une interface utilisateur soignée, Inkscape plaira autant sur Windows que sur Mac ou Linux.

L’histoire d’un beau projet open-source nommé Inkscape

Inkscape est encore relativement récent puisque son histoire débute en 2003 alors qu’il n’était alors qu’un fork d’un logiciel d’édition de graphiques vectoriels gratuit et open-source qu’était Sodipodi.

C’est justement ce côté open-source qui avait permis à Sodipodi en son temps d’être un fork de The GIMP, logiciel open source de retouche graphique très célèbre faisant concurrence au géant Adobe Photoshop.

Un logiciel open-source met à disposition du public son code source qui peut ainsi être copié puis modifié pour créer de nouveaux logiciels appelés alors fork. Il pourrait donc tout à fait exister un fork de Inkscape intégrant les fonctionnalités avancées de The GIMP dans quelques années, c’est le côté magique du monde des logiciels « libres » (et gratuits !).

Si Sodipodi utilisait bien le format de fichier SVG en natif, il n’était pas du tout conçu à la base pour une totale implémentation du standard SVG. C’est de cette divergence d’opinion sur les objectifs que devrait remplir Sodipodi que quatre développeurs (Ted Gould, Bryce Harrigton, Nathan Hurst et « MenTaLguY ») décidèrent de bâtir un fork en se focalisant essentiellement sur l’implémentation du standard SVG tout en restant ouvert aux contributions extérieures.

Les développeurs d’Inkscape remportèrent leur pari en changeant drastiquement l’interface utilisateur mais également en passant du langage C au langage C++, en adoptant GTK+ (anciennement « GIMP Toolkit ») avec gtkmm (pour une GUI en C++).

Dès sa sortie, l’implémentation du standard SVG fut grandement accueillie par le public bien qu’encore incomplète, ce qui valut à Sodipodi d’être stoppé dans son développement.

Aujourd’hui, la communauté Inkscape est plus active que jamais. Fin 2007, le code source d’Inkscape était encore hébergé par SourceForge. Il fut déplacé ensuite sur Lauchpad puis sur GitLab où il est encore disponible depuis 2017.

Inkscape participe également au programme Google Summer of Code qui récompense des élèves du monde entier âgés de plus de 18 ans et qui dans le cadre d’un projet universitaire coderaient un logiciel gratuit et open source le temps d’un été.

Xara Xtreme est un autre logiciel de dessin vectoriel développé par une petite société britannique et qui est réputé pour sa gestion avancée des dégradés et de la transparence alpha.

Un partenariat entre Inkscape et Xara pourrait bien voir le jour suite à l’annonce de l’ouverture du code source de Xara Xtreme dans le but d’atteindre un niveau de qualité supérieur à celui des logiciels propriétaires.

Cette alliance pour un meilleur partage du savoir pourrait donc apporter à Inkscape (mais également à Xara Xtreme) bien des améliorations et ajouts de fonctionnalités à l’avenir, comme une gestion de la mémoire CPU encore plus accrue et optimale.


Inkscape pour Ubuntu tournant sur une distribution Linux Debian.

Inkscape en pratique : ses fonctionnalités

Création d’objets

• Dessin : dessin de lignes à main levée, tracé de courbes de Bézier (point à point ou main levée) et de segments de droites, tracé de lignes calligraphiques à la plume (support de l’angle et pression des tablettes graphiques)

• Formes : rectangles, carrés (coins arrondis paramétrables), ellipses, cercles et arcs, étoiles et polygones, spirales

• Texte (alignement, direction, police, justification, multi-ligne)

• Clones (objets copiés avec modification dynamique)

• Lien, import, vectorisation d’images matricielles et création par remplissage entre d’autres chemins

Manipulation d’objets

• Transformations affines de manière interactive ou par spécification de valeurs numériques (translation, symétrie, redimensionnement, rotation, déformation)
• Système de calque avec tri par empilement des calques, des groupes, et des objets (z-order)
• Groupement hiérarchique d’objets et de groupes
• Alignement et distribution d’objets, disposé sur une grille, éparpillement d’objets, grille et guides magnétiques

Remplissage et contours

• Sélecteur de couleur (RVB, TLS, CMYK, roue)
• Pipette à couleur
• Copier/coller du style des objets
• Remplissage par aplats de couleur, dégradés, textures et motifs, avec support de canal alpha
• Édition de dégradés sur le canevas avec des poignées de contrôle par un éditeur de dégradés (linéaires et radiaux)
• Bordures pointillées et « marqueurs » (objets SVG se fixant aux nœuds et extrémités des courbes).

manipulation des courbes avec inkscape

Opérations sur les chemins

• Édition de nœuds : déplacement, poignées de contrôle des courbes de Bézier, alignement et distribution de nœuds, redimensionnement et rotation de groupes de nœuds
• Conversion en chemin des objets textes, formes et bordures
• Opérations booléennes (union, intersection, différence, exclusion, division)
• Simplification, perturbation, et fractalisation des chemins
• Création de lignes extérieures avec décalages (offset), se modifiant dynamiquement en fonction des formes dont elles sont dérivées

Support du texte

• Texte multi-ligne (SVG 1.0/1.1 ) et non-standard pour SVG 1.2
• Ajustement de l’interligne et de l’interlettrage
• Modification du style, des couleurs, de la taille des caractères
• Texte attaché à une courbe pour suivre son chemin
• Utilisation de la bibliothèque Pango
• Utilisation de toutes les polices vectorielles installées sur le système

SVG 1.2 Tiny n’est pas supporté. Tous les textes sont directement éditables dans un canevas. Le rendu de texte est basé sur la librairie Pango qui permet à Inkscape de supporter plusieurs formes d’écritures complexes comme l’hébreu, l’arabe, le thaï ou encore le tibétain mais également de permettre d’ajuster l’espacement des lettres par glyphes en utilisant des raccourcis clavier. Inkscape supporte également la conversion de polices de caractères en italique et en gras, tout comme les exposants et indices mais le soulignement n’est pas implémenté à l’heure actuelle.

Rendu

• Affichage et rendu anticrénelés
• Transparence alpha pour l’affichage et l’export au format PNG
• Rendu des objets durant leurs transformations
Pendant très longtemps et à l’inverse d’autres logiciels, Inkscape utilisait sa propre librairie de rendu pour créer les graphiques vectoriels, appelée libnr. Depuis la version 0.91, Inkscape utilise désormais Cairo pour le rendu graphique ce qui apporta un gain notable en terme de vitesse pour l’application.

manipulatin des couleurs avec inkscape

Divers

• Outil de connexion d’objets pour les diagrammes
• Éditeur XML intégré : visualisation et modification en direct de l’arbre du document SVG en cours
• Importation de fichiers bitmap et vectoriels de différents formats
• Vectorisation des images bitmap avec POTrace
• Exportation aux formats PNG, PostScript, DXF et ODG
• Importation et exportation au format PDF
• Importation et exportation au format EMF (Enhanced MetaFile) ou Windows Metafile (WMF) pour ouvrir et modifier des cliparts de MS Office ou insérer des dessins vectoriels créés sous Inkscape dans MS Office
• Options en ligne de commande pour l’exportation, la conversion et l’analyse de fichiers SVG
• Support des métadonnées RDF (auteur, date, licence, etc.)
• Support de plugins en langage Python (fonctions de fractale, de perturbation, d’interpolation des courbes)
• Support des feuilles de style en cascade (CSS)
• Insertion de symboles mathématiques et de lettres grecques

coloration d'une image avec inkscape

Performance

L’option « Rendering tile Multiplier » a été ajoutée dans les préférences de rendu. Cela permet d’ajuster la taille des « tiles » (les « tiles » sont des portions d’une zone d’un canevas qui sera calculé en 1 passe).

Obtenir un rendu d’une large zone possédant un contenu complexe en une seule fois requière plus de puissance de calcul, mais les ordinateurs avec des configurations puissantes parviennent à réaliser cette tâche sans souci de nos jours.

Réduire la valeur de largeur permet par exemple d’accélérer la vitesse de zoom sur des ordinateurs peu puissants. La nouvelle valeur par défaut revient à partager votre écran en 4 tiles qui bénéficieront d’un rendu indépendant l’un de l’autre si vous n’utilisez pas un écran haute résolution (qui requiert plus de tiles).

Le premier lancement sous Windows de Inkscape pouvait être plus long du fait qu’il fallait créer un index de toutes vos polices de caractères disponibles sur votre système, mais cela est bien plus rapide désormais depuis la version 2.13.0 de fontconfig.

Format de fichiers

Le format natif d’Inkscape était le format SVG dans sa version 1.1, ce qui signifie qu’il est capable de créer et d’éditer avec toutes les possibilités de ce format mais également avec ses contraintes.

Tous les autres formats doivent également être importés (pour être converti en SVG) ou exporté (converti depuis un SVG). Inkscape implémente le standard CSS en plus du SVG et permet un support multi-langage pour pouvoir coder des scripts complexes dans des langages autres que le C++.

Inkscape est capable d’importer nativement les formats suivants :

Vectoriel :
• Adobe Illustrator Artwork (AI)
• CorelDRAW (CDR)
• Microsoft Visio Drawing (VSD)
• Portable Document Format (PDF)
• SVG Zip (SVGZ)

Raster :
• Joint Photographic Experts Group (JPEG)
• Portable Network Graphics (PNG)
• Graphics Interchange Format (GIF)
• Bitmap image file (BMP)

Grâce à l’ajout de plugins, Inkscape pourra importer les formats :

• Computer Graphics Metafile (CGM) (avec UniConvertor)
• Dia Software (DIA)
• Encapsulated PostScript (EPS) avec Ghostscript
• PostScript (PS) avec Ghostscript
• sK1 (SK1) (avec UniConvertor)
• Sketch
• Xfig Software (FIG)

Pour les exports, Inkscape peut utiliser les formats :

• Encapsulated PostScript (EPS)
• Flash XML Graphics (FXG)
• Hewlett-Packard Graphics Language (HPGL)
• HTML5 Canvas
• LaTeX (TEX)
• Portable Document Format (PDF)
• PostScript (PS) (Level 3 with 0.92+)
• POV-Ray (POV)
• Synfig Animation Studio (SIF)
• Extensible Application Markup Language (XAML)

D’autres possibilités avec Inkscape

• Profitez d’un éditeur XML pour des manipulations directes sur vos structures SVG XML
• Éditez les fichiers Resource Description Framework (RDF), des métas-datas basées sur le modèle de la World Wide Web Consortium (W3C)
• Une interface pour travailler en lignes de commande, ce qui permet d’utiliser toutes les fonctions de conversion ainsi que de profiter d’une GUI complète pour vos scripts
• De nouveaux plugins ajoutent toujours plus de nouveaux effets et autres fonctionnalités
• Concevoir des diagrammes mathématiques en utilisant LaTeX
• lib2Geom est disponible pour un usage externe. 2Geom est une librairie (au sens informatique), développée originellement pour Inkscape. Cette librairie est désormais utilisable à partir de n’importe quelle application le permettant.

inkscape offre de nombreuses possibilité d'édition graphique

Interface et utilisation

L’une des priorités premières d’Inkscape est de conserver une ergonomie très simple d’utilisation. Cela inclut de faire des efforts continuels pour suivre les directives de GNOME Human Interface Guidelines, pour rester universel au niveau de l’usage du clavier ainsi que de respecter les standards de l’édition graphique.

Inkscape a énormément évolué depuis sa première version du côté de son ergonomie et de son interface en étant toujours plus simple et pratique à utiliser.

Le nombre de boîtes flottantes de dialogue a été réduit, mais toutes les fonctions restent toujours disponibles par raccourcis clavier ou depuis les barres que l’on peut mettre dans des « docks » (un peu comme des widgets) dans la fenêtre d’édition. La barre d’outils principale toujours disponible en haut permet de’obtenir les outils principaux rapidement.

Toutes les transformations vectorielles, redimensionnements, mises à l’échelle, positionnements et rotations possèdent leurs propres raccourcis clavier avec des combinaisons logiques (Alt ajuste le zoom par 1 pixel, Shift fait la même chose mais 10 fois plus donc avec un pas de 10 pixels, etc.).

Ces combinaisons fonctionnent en « nœuds » (nodes) tout comme les objets que l’on trouve dans l’outil sélection. Les opérations habituelles (comme les transformations, les zooms…) ont toujours des combinaisons précises mais très logiques et surtout pratiques.

interface influencée par xara xtreme

L’interface d’Inkscape est très fortement influencée par celle de son homologue payant Xara Xtreme.
 
Inkscape propose également des bulles d’aide au passage de la souris pour recevoir des conseils d’utilisation pour chaque bouton, contrôle, commande, clé et gestion des canevas.

Ces bulles d’aides sont dynamiques pour vous donner des conseils : ainsi un seul et même objet pourra vous donner jusqu’à quatre conseils différents lors de vos éditions.

Les conseils sont choisis en se basant sur deux données : l’outil utilisé et le type d’objet/nœud/manipulation sur une forme, un lien, un chemin, etc. Evidemment Inkscape est fourni avec une guide complet pour les raccourcis claviers et comment utiliser au mieux la souris pour découvrir conseils et « raccourcis » (disponibles en HTML et SVG) ainsi que plusieurs tutoriels interactifs faits en SVG.

L’interface de Sodipodi (le prédécesseur d’Inkscape que nous vous mentionnions) était basée sur celle de CorelDRAW et de GIMP. L’interface d’Inkscape est quant à elle fortement influencée par Xara Xtreme.

inkscape est utilisé dans le monde de la science

Inkscape est très apprécié du monde scientifique grâce au support des schémas algébriques complexes en natif.

Plateformes supportées (systèmes d’exploitation)

La dernière version d’Inkscape que nous vous proposons est disponible pour Ubuntu, OpenSUSE, Microsoft Windows et MacOS. Les versions Windows proposent le choix entre des versions 32bits et 64bits selon votre matériel.

Inkscape pour Mac est typiquement utilisé sur XQuartz (le serveur X de MacOS). Il est tout à fait possible de compiler le toolkit de GTK+ pour l’utiliser nativement sous Quartz.

différents systeme d'exploitations supporté par inkscape

Inkscape est disponible dans des packages à destination de toutes les principales distributions Linux (comme Debian, Ubuntu, Fedora, OpenSUSE) avec GTK+ version 2.2 et supérieures.

Le projet Wacom est en cours de développement (de nouveau) afin de permettre un support de GTK+ 3 sur Tablet.
Il existe des problèmes majeurs pour passer sur GTK+ 3 lors des migrations depuis une ancienne version. De même que Windows ne permet pas le support de la librairie GTK+ 3 à l’heure actuelle.


Interface simple et ergonomique, la puissance d’Inkscape réside surtout en ses raccourcis claviers à combinaisons « intelligentes »

Des avis sur Inkscape ? Les utilisateurs répondent

Voici une retranscription d’avis recueillis par le très sérieux site américain de notation de softwares G2crowd. Vous pourrez ainsi vous faire une idée plus précise de ce que donne Inkscape en utilisation réelle au travers ces avis représentatifs.

Le 10 janvier 2019 par Lais R –

Je ne sais pas si je l’aime ou si je le déteste.

Qu’aimez-vous le plus avec Inkscape ?

Je vais commencer par le premier point qui fait que je l’ai choisi : il est open source et gratuit. J’aime également la manière dont fonctionne l’outil crayon, il montre uniquement le surlignage et montre le chemin complet ou seulement le trait quand vous avez terminé le chemin et c’est très utile quand il faut créer des lignes indépendamment de traits, la barre espace me permet de bouger autour du canevas très facilement même si j’utilise un petit notebook avec son pad, et j’aime la boîte de dialogue qui montre les informations à propos des actions faites.

Que n’aimez-vous pas sous Inkscape ?

Les raccourcis clavier par défaut sont vraiment bordéliques. Vous ne pouvez éditer une ancre avec un point sans avoir terminé le chemin en plus d’une interface graphique pour les outils de modification assez confuse.

Que recommanderiez-vous à ceux qui cherchent un logiciel de graphique vectoriel ?

Si vous avez déjà de l’expérience avec d’autres logiciels d’images vectorielles, votre première expérience avec Inkscape risque d’être déplaisante, mais cela ne veut pas dire qu’il est inutilisable, vous aurez besoin de chercher quelques tutoriels pour devenir plus familier de cet outil et donc si vous souhaitez investir de votre temps pour apprendre à l’utiliser. Je pense qu’il vaut mieux avoir Inkscape installé sur son ordinateur, mais ne l’utilisez pas forcément comme votre outil principal mais utilisez-le pour vous aider à découvrir déjà dans un premier temps pour travailler avec des fichiers vectoriels.

Quel bénéfice retirez-vous de l’utilisation de ce logiciel ?

Inkscape est mon outil de secours quand en urgence je dois créer des dessins artistiques au trait, puis je termine le travail sur d’autres logiciels.

Le 13 juillet 2018 par Ceta M –

Excellent logiciel gratuit pour transformer ses designs en vectoriels.

Qu’aimez-vous le plus avec Inkscape ?

J’utilise avant tout Inkscape pour transformer mes slogans et designs très simples en images vectorielles que je peux utiliser pour vendre des produits que je peux ensuite mettre à dispo sur des sites comme Redbubble et TeePublic. Le processus est simple et rapide et il y aura toujours suffisamment de possibilités avec logiciel pour me permettre de faire exactement ce que je veux et même toujours un peu plus. Après avoir créé mon design (la plupart du temps à base de texte dans mon cas) je peux facilement faire des retours-arrières et modifier les couleurs du sombre au clair avec un fond transparent pour travailler sur différentes couleurs de produits. Cela a été un réel changement dans ma vie professionnelle et je me délecte toujours du fait qu’il soit gratuit.

Que n’aimez-vous pas sous Inkscape ?

Je n’arrive pas à prendre des images très colorées et les changer en vectoriel mais hey, il est gratuit et je suis capable de créer des vecteurs très simples, ce qui est la raison pour laquelle je le possède. Je ne me plains donc pas.

Que recommanderiez-vous à ceux qui cherchent un logiciel de graphique vectoriel ?

Il y a des tonnes de tutoriels sur internet si vous n’arrivez pas à trouver comment faire ce que dont vous avez besoin. C’est un excellent logiciel gratuit.

Quel bénéfice retirez-vous de l’utilisation de ce logiciel ?

Je suis capable de fabriquer des images vectorielles depuis des designs simples à une couleur et du texte qui me permet de me faire de l’argent sur des sites de vente de logos et slogans comme Redbubble et TeePublic.

Le 25 mai 2018 par Abby R –

Super soft !!

Qu’aimez-vous le plus avec Inkscape ?

Je peux créer un fichier SVG depuis n’importe quelle image ou en partant de zéro, ou encore en important un autre SVG pour le modifier. J’adore l’utiliser avec mon Cricut Explore Air 2 pour de la découpe. Je peux également avoir un fichier sauvegardé dans le format dont j’ai besoin pour utiliser tout cela avec mon Cricut qui utilise aussi d’autres logiciels. Je l’utilise également pour faire des bannières et couvertures FaceBook. Il y a dedans une très bonne sélection d’outils pour dessiner et éditer des objets graphiques.

Que n’aimez-vous pas sous Inkscape ?

Il n’est pas si user friendly, il y a des trucs que je n’arrive pas à faire avec que j’arrive pourtant sur d’autres logiciels. Certains des outils sont des 2 côtés de l’écran et ce n’est pourtant pas ce qui améliore la rapidité ou la compréhension du logiciel. Les boîtes flottantes sont un peu petites et elles ne peuvent hélas être reparamétrées. Les boîtes de dialogue en effet 3D font plutôt gadget et il n’y a pas de support de couleurs PMS.

Que recommanderiez-vous à ceux qui cherchent un logiciel de graphique vectoriel ?

Facile à utiliser avec juste un peu de patience et de pratique. Il a énormément de fonctions communes avec CorelDRAW et Adobe Illustrator.

Quel bénéfice retirez-vous de l’utilisation de ce logiciel ?

Je l’ai utilisé au départ pour m’aider à fabriquer mes fichiers SVG que les gens m’envoyaient pour faire des images virils à coller aux murs ou à graver avec Cricut pour eux. J’ai aussi utilisé ce logiciel pour la couverture de mon compte Facebook professionnel.

Le 10 février 2018 par Chris T –

Des défauts d’aspects.

Qu’aimez-vous le plus avec Inkscape ?

Inkscape est vraiment un très bon logiciel pour dessiner dessus. J4aime comment ce logiciel arrive à identifier chaque différent changement que vous faites pour pouvoir ensuite les éditer un à un. Cela devient rapidement très pratique quand vous devez éditer des tous petits détails. J’aime aussi tout ce qui accompagne Inkscape pour les différents paramétrages de base. Cela en fait un logiciel vraiment bon pour faire des designs en vectoriel.

Que n’aimez-vous pas sous Inkscape ?

Inkscape est un bon logiciel mais il manque cruellement d’une meilleure interface utilisateur. Le logiciel pourrait vraiment être rafraîchi pour une mise à jour visuelle et devenir plus attirant. Je n’aime pas aussi le fait qu’Inkscape ne soit pas vraiment compatible avec d’autres logiciels comme GIMP ou Photoshop. Vous pouvez transférer des images depuis Inkscape sur d’autres logiciels mais vous perdez alors la possibilité d’éditer vos objets graphiques.

Que recommanderiez-vous à ceux qui cherchent un logiciel de graphique vectoriel ?

Inkscape est superbe pour dessiner. Je le recommande en trouvant un stylo compatible pour dessiner dessus.

Quel bénéfice retirez-vous de l’utilisation de ce logiciel ?

On utilise principalement Inkscape pour dessiner et faire des images vectorielles pour nos designs. Nous avons comme avantage principal avec Inkscape de pouvoir créer très rapidement nos fichiers vectoriels.

Le 28 mars 2018 par Amy F –

Le meilleur logiciel que l’on puisse trouver.

Qu’aimez-vous le plus avec Inkscape ?

Inkscape est gratuit et c’est son plus gros avantage comparé aux autres logiciels sur le marché pour dessiner en vectoriel. Il y a une très grande variété d’outils choisis pour vous et sur lesquels vous aurez un contrôle total. Il y a plein d’outils qui sont créés spécialement pour des besoins bien spécifiques comme l’édition ou le dessin. L’interface est très belle même si vous pouvez la personnaliser pour séparer les fenêtres pour créer votre propre espace de travail. Je trouve cet outil vraiment super à utiliser pour faire des contours d’images et en créer des vecteurs. Une autre fonctionnalité vraiment super ce sont les filtres. Il y a une énorme sélection de filtres disponibles pour vos besoins et il y en a d’autres à ajouter en plus. Cet outil est populaire dans les milieux des designers et il y a beaucoup de plugins et addons qui sont disponibles pour ce logiciel qui peut alors être encore meilleur et qui fonctionne très facilement. Le programme est également léger comparé aux autres logiciels de graphisme vectoriel sur le marché donc vous n’aurez pas besoin d’une grande configuration système pour le faire fonctionner.

Que n’aimez-vous pas sous Inkscape ?

Il n’y a aucune façon de pouvoir travailler avec plusieurs pages en même temps dans inscape et je trouve cela vraiment très frustrant parfois. Il n’y a pas d’outil de gradient ce qui serait plutôt pratique quand l’on fait des designs avec des couleurs PMS. D’ailleurs le support de couleurs PMS manque à ce logiciel.

Que recommanderiez-vous à ceux qui cherchent un logiciel de graphique vectoriel ?

Cet outil est gratuit, svp donnez-lui sa chance et découvrez-le par vous-même.

Quel bénéfice retirez-vous de l’utilisation de ce logiciel ?

Faire des designs et de l’édition de graphismes vectoriels.

Le 24 novembre 2017 par McKenna K –

Confus mais très prometteur.

Qu’aimez-vous le plus avec Inkscape ?

Il est gratuit et très décent comme remplaçant à Illustrator si vous savez comment l’utiliser correctement. Savoir comment marche ce logiciel est idéal comme pas possible, mais il y a pas mal d’autres logiciels qui font la même chose et pourront vous aider, donc il est « accessible » à sa propre manière. Il est capable de bien des choses et c’est un logiciel gratuit acceptable, il fait le taf qu’on lui demande dans un temps approprié et/ou acceptable.

Que n’aimez-vous pas sous Inkscape ?

Le manque de conseils ou d’astuces. Pour commencer à utiliser ce logiciel correctement, vous devrez regarder plus d’une dizaine de tutoriels rien que pour comprendre les boutons basics à utiliser. Les outils en eux-mêmes ne sont pas toujours clairs à utiliser, et cela malgré leurs descriptions ou emblèmes qui sont supposées les représenter en utilisation. Travailler avec un tableau tactile est limité car les mouvements ne sont pas aussi faciles que j’aurais cru.

Que recommanderiez-vous à ceux qui cherchent un logiciel de graphique vectoriel ?

Commencez déjà par regarder des tutoriaux avant de l’utiliser. Utiliser cet outil pour un apprentissage par l’erreur et des essais ne fonctionne pas réellement. Une fois que vous aurez appris à utiliser ce logiciel, cela en vaut vraiment la peine.

Quel bénéfice retirez-vous de l’utilisation de ce logiciel ?

Les polices de caractères et les formes de lettres posent beaucoup de soucis avec des logiciels tous petits. Inkscape possède un formidable nombre d’outils qui ont différents effets, des effets lumineux avec des sélections de zones bien conçues. C’est un parfait équivalent à Illustrator et bien meilleur que les autres options face à Illustrator. Un bon moyen d’expliquer ce fait c’est si vous regardez sur une échelle de 1 pour 10, 10 étant Illustrator et n’importe quoi de « gratuit » en dessous de 5, Gimp est un 5 malgré le fait qu’il est également gratuit, Inkscape serait un 6,5 du fait de ses capacités.

Le 15 novembre 2017 par Donna B –

Facile pour utiliser des illustrations vectorielles.

Qu’aimez-vous le plus avec Inkscape ?

Les outils, spécialement pour les courbes de Bézier, sont bien plus faciles à apprendre et à contrôler que dans des outils similaires comme Illustrator. Les deux, Adobe Illustrator et Inkscape, sont installés sur mon ordinateur, mais je retourne invariablement sur Inkscape. Je ne me rappelle même plus la dernière fois que j’ai dû opter pour Illustrator à la place d’Inkscape.
Les calques rendent facile pour plus tard l’édition de mes illustrations.
Les préférences me permettent de paramétrer Inkscape pour reconnaître la sensibilité très haute de pression sur ma tablette.

Que n’aimez-vous pas sous Inkscape ?

Long à s’ouvrir, mais une fois ouvert je n’ai plus aucun souci de vitesse.
Le logiciel ne garde pas exactement les mêmes dimensions de mes illustrations. Les changements sont minuscules mais peuvent décaler de quelques pixels des lignes entières.
Ce serait vraiment cool s’il y avait une option pour garder les tailles d’espacements quand on fait des redimensionnements. Je réalise que dans la plupart des cas, les utilisateurs aimeraient que le logiciel gère la largeur des espacements quand l’on redimensionne, mais pour mes besoins je veux parfois avoir des espacements avec un nombre de pixels constant., je dois à chaque revérifier et remodifier mes espacements.

Que recommanderiez-vous à ceux qui cherchent un logiciel de graphique vectoriel ?

Si vous êtes à la recherche d’un logiciel d’images vectorielles, c’est un superbe logiciel. Même si j’ai Adobe Illustrator CS4 sur mon ordinateur, j’utilise presque exclusivement Inkscape depuis quelques années déjà.

Quel bénéfice retirez-vous de l’utilisation de ce logiciel ?

Je suis un photographe qui a juste débuté en utilisant mes photographies pour créer des modèles d’art. Je place mes photographies sur un calque et crée alors de nouveaux calques pour dessiner des traits sur ma photographie. Ces images sont très simplifiées comparées aux détails visibles dans ma photographie – la réduction de détail est parfaite quand on utilise de la photographie pour des logiciels de broderies et des logiciels de découpes électroniques.

Le 19 décembre 2018 par Marc W –

Ne vous mettez pas tant à l’aise !

Qu’aimez-vous le plus avec Inkscape ?

Inkscape est un logiciel open source et est gratuit, facile à utiliser pour aller directement droit au but. Il vous permettra d’apprendre les basiques du graphisme vectoriel sans les complications qu’apportent l’interface des produits Adobe, mais ai-je mentionné qu’il est GRATUIT ? C’est génial si vous devez juste faire le design d’un logo par ci ou par-là, et il vous apportera la plupart des outils dont vous aurez besoin pour des boulots simples mais efficaces. Le traçage des contours des images est le meilleur que j’ai pu utiliser, ce qui en fait vraiment un logiciel à part.

Que n’aimez-vous pas sous Inkscape ?

Il a tendance à se bloquer sur de gros projets, il n’exporte pas dans des formats de fichier standards de l’industrie comme le format .ai et envoyer ses projets à un client peut être compliqué, surtout s’il aime refaire des modifications par lui-même. En plus, il est facile à utiliser sauf que sa seule difficulté technique est qu’il faut télécharger deux applications séparées pour faire tourner Inkscape sur Mac (Je ne suis pas sûr si c’est pareil ou pas sur Windows). Cela le rend indispensable à posséder et à l’utiliser, et je persiste à dire qu’il est facile à utiliser une fois que vous avez tout téléchargé et démarré cette application, il n’y a rien de particulier à connaître.

Que recommanderiez-vous à ceux qui cherchent un logiciel de graphique vectoriel ?

Si vous êtes un designer qui fait énormément de graphismes, ce logiciel n’est peut-être pas ce qu’il vous faut, mais si vous souhaitez apprendre le graphisme vectoriel, ou juste si vous avez besoin de faire quelques projets par ci et par là, alors il correspondra parfaitement à vos besoins !

Quel bénéfice retirez-vous de l’utilisation de ce logiciel ?

Il m’a permis de créer des designs très simples au lieu de me fier aux designs de mes partenaires, ce qui m’a apporté des résultats plus rapides et sans coût en argent supplémentaire. Il permet de faire des modifications extrêmement rapides et dans certains cas, il nous fait gagner des journées entières pour finaliser nos ventes pour des clients dont le temps libre est un réel souci.

Le 03 mai 2017 par Сергей –

Design de cartes, dessiner des illustrations et autre travaux graphiques sur ordinateurs.

Qu’aimez-vous le plus avec Inkscape ?

Le fait que ce produit soit Open Source. Aussi, j’aime la simplicité et sa versatilité en même temps. Il y a certaines fonctionnalités qui sont uniques de mon avis et qu’on aimerait pouvoir retrouver dans d’autres logiciels d’édition d’images (par exemple dans le panneau pour aligner et réarranger avec une fonction pour aligner le tout le long de la bordure du haut).

Que n’aimez-vous pas sous Inkscape ?

Son manque de stabilité face à des fichiers très larges et avec un nombre important d’effets sur un seul document. Le logiciel est tout simplement inutilisable lorsqu’il fait ses opérations. Il y a trop de fenêtres simples qui empêchent parfois de bien voir l’objet dans la fenêtre ! Il est nécessaire d’utiliser un éditeur XML complexe. J’aimerais également une version plus compacte d’Inkscape mais également un nouveau style d’interface.

Que recommanderiez-vous à ceux qui cherchent un logiciel de graphique vectoriel ?

Je vous recommande d’utiliser Inkscape. C’est un très bon produit pour les débutants en arts graphiques ainsi que pour d’autres types d’utilisateurs. Il est vraiment conçu pour vous permettre d’apprendre ou de faire découvrir le graphisme vectoriel.

Quel bénéfice retirez-vous de l’utilisation de ce logiciel ?

Je peux créer des illustrations complexes mais il est aussi possible d’utiliser Inkscape pour des utilisations commerciales qui ne coûtent pourtant rien du tout.

Le 18 avril 2017 par Raymond Z –

Inkscape est vraiment facile à utiliser et vous obtiendrez d’excellents résultats.

Qu’aimez-vous le plus avec Inkscape ?

Inkscape est vraiment simple à commencer à utiliser, mais il vous faudra savoir comment dessiner évidemment. Quoi qu’il en soit, tous les outils basiques sont là – exactement comme avec les autres logiciels d’illustrations, donc les débutants peuvent déjà obtenir quelque chose de bon en quelques minutes. Et puisque le logiciel est open source, il y a une communauté d’utilisateurs très actifs qui vous montreront comment faire si jamais vous êtes perdu. J’ai trouvé également quelques tutoriaux Inkscape bien cool sur Youtube.
Je n’en peux plus d’attendre chaque nouvelle mise à jour !!!

Que n’aimez-vous pas sous Inkscape ?

Parfois, l’option dont vous avez besoin est difficile à trouver et la structure du logiciel peut être légèrement différente de ce que à quoi vous pouvez vous attendre, surtout si vous utilisez des logiciels d’Adobe. J’ai également rencontré quelques soucis de RAM.
La gestion des couleurs n’est pas facile à trouver quant à elle, mais pour ma part je n’ai toujours aucune idée de comment utiliser le mode Alpha (pour l’opacité). Donc à un certain point il y a vraiment besoin de lire le manuel 🙂

Que recommanderiez-vous à ceux qui cherchent un logiciel de graphique vectoriel ?

Eh bien, Inkscape est un logiciel gratuit avec les options et fonctionnalités des logiciels payants. Il possède une capacité d’apprentissage douce afin que tout le monde puisse s’y mettre et puisse l’utiliser pleinement.

Quel bénéfice retirez-vous de l’utilisation de ce logiciel ?

Je l’utilise essentiellement pour créer des logos et ça marche très bien. J’ai créé aussi un book d’illustrations grâce à Inkscape. Au départ, c’était difficile de trouver comment tout cela fonctionnait, mais maintenant – moins d’un an de pratique – je peux faire presque les mêmes illustrations que je pourrais faire sur papier, mais avec le bénéfice de pouvoir très facilement agrandir mon image.

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